Comme une
libélule ou une abeille folle,
je te cherche partout
et ce qui est désarmant
c’est que je te trouve,
ne t’en trouvant absolument pas,
dans ces bâtiments battues,
corrompus, avec du ciment qui abandonne
en miettes les murs que mes yeux ont,
eux mêmes, laissé tomber par terre
tel qu’une créature niobesque.
Le sol en boi imprégné de larves,
chacune
fait des petits trous
pour boir
mes chaudes larmes et mon nord perdu.
Cependent, je deviens vide et grotesque.
Mon âme pourri, il ne reste plus q’une bête urbanesque, désoeuvrée.
Comme la libélule, elles me manquent, les quenouilles.
Nenhum comentário:
Postar um comentário